En 2010, Raúl Castro, alors président, avait négocié avec la hiérarchie catholique la libération de 130 prisonniers politiques. Des ONG et l’ambassade des États-Unis à Cuba comptabilisent au total un millier de « prisonniers politiques » sur l’île. La Havane nie l’existence de prisonniers politiques et accuse les opposants d’être des « mercenaires » à la solde de Washington. Joe Biden a annoncé mardi deux autres mesures unilatérales. Il a accusé Joe Biden de chercher à « saper » le travail du futur gouvernement de Donald Trump et du Congrès à majorité républicaine.
Source: La Croix January 15, 2025 19:57 UTC