Jacques Secrétin était content d'avoir un successeur avec Emmanuel Lebesson , mais il se projetait d'emblée dans une autre dimension. «Le titre européen, c'est une belle étape, mais ce n'est qu'une étape, soulignait-il lundi. Moi, j'ai été numéro 2 mondial (dans les années 70) et Jean-Philippe Gatien numéro 1 (dans les années 90) et notre ambition était de battre les Chinois. En France, on a une belle école de tennis de table, mais on ne se prépare plus mentalement à aller chercher les Chinois. J'espère que cette génération qui monte va s'y attaquer.» Les « jeunots » sont prévenus.
Source: L'Equipe October 25, 2016 06:56 UTC