«Dans la grande majorité, est en cause, au départ, une interaction sur les réseaux sociaux », indique son rapport publié le 22 juillet. Le secteur du bien-être, vitrine des mouvements sectaires sur InternetAutre inquiétude de la mission interministérielle : dans la réalité mais encore plus sur Internet, le premier vecteur des dérives sectaires semble résider dans le secteur de la santé et du bien-être. Durant la crise sanitaire, plusieurs personnalités vantant des remèdes alternatifs au Covid-19 se sont imposées sur les réseaux sociaux. D’autres pratiques largement plébiscitées par de nombreux influenceurs sur les réseaux sociaux, à l’allure pourtant inoffensive, sont également surveillées. « Sur les réseaux sociaux comme dans la vraie vie, le milieu du bien-être est une très jolie vitrine pour les sectes et les groupes marginaux, analyse Romy Sauvayre.
Source: La Croix July 31, 2021 04:18 UTC