Le syndicat Unia a apparemment moins de succès quand il tente de se faire entendre par les RH de la maison couronnée. Unia prend pour preuve toutes ses tentatives de dénoncer des situations de harcèlement et de mobbing au sein du Service mondial Rolex (qui assure le suivi global des montres après leur vente). Selon Alejo Patiño, secrétaire syndical responsable de la branche Horlogerie à Genève, tout a commencé par un changement à la tête du Service mondial, survenu en 2016. A sa suite, Unia affirme avoir constaté la dégradation des conditions de travail dans ce département: «Une cinquantaine de personnes sont venues se plaindre. Au total, entre 10 et 15 personnes ont été touchées, licenciées, volontairement parties en préretraite, ou en arrêt maladie.»
Source: Le Temps June 11, 2024 03:04 UTC