Dans certains départements ruraux, seule une poignée de médecins pratiquent les IVG, ce qui suppose des déplacements compliqués. « La téléconsultation est apparue inégalement adaptée, de nombreuses patientes ayant besoin de rencontrer physiquement le médecin prenant en charge leur IVG », écrivent-elles. « Si elle est étendue, la téléconsultation ne doit pas être rendue obligatoire », précise d’ailleurs Sarah Durocher. ______________________________________________________Les autres débats issus du confinementAu nom de la lutte contre des difficultés d’accès à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) liées au confinement, des assouplissements de délais ont été décidés. Les IVG médicamenteuses ont pu être pratiquées en ville jusqu’à sept semaines de grossesse contre cinq en temps normal.
Source: La Croix November 04, 2020 16:18 UTC