Depuis 34 ans, Alain Coq souffre d’une maladie orpheline, qui s’attaque à ses artères et provoque des douleurs intenses, devenues insupportables. Le 5 septembre, ce Dijonnais a donc décidé de se laisser mourir et de diffuser ses derniers instants en direct, sur Facebook. Alain Cocq souhaite que des médecins soient autorisés à lui prescrire un sédatif puissant, qu’il avalera lui-même. Si Alain Cocq a sollicité le sommet de l’État, c’est parce que la loi Claeys-Leonetti de 2016 sur la fin de vie ne s’applique pas à son cas. Alain Cocq est accompagné dans ses revendications par l’association Handi mais pas que, et l’Association pour le droit de mourir dans la dignité.
Source: La Croix September 03, 2020 03:56 UTC