« Les gens ne savent pas où aller »L’intensité et le nombre des frappes israéliennes ont entraîné le déplacement de 1,2 million d’habitants à travers le Liban, dont 400 000 enfants, selon les organisations onusiennes. Avec des bombardements d’une telle intensité à Beyrouth ou dans la Bekaa, presque aucune partie du pays n’est épargnée. »Un pays déjà à terreCette intensification de la guerre frappe un pays déjà à terre. « Le Liban n’est pas dans la même situation que pendant la guerre de 2006, remarque Frédéric Cussigh, qui était sur place il y a dix-huit ans. Cela aura un impact sur la manière dont la guerre sera gérée dans les mois à venir.
Source: La Croix October 08, 2024 16:57 UTC