Cela ne concerne pas que les éleveurs de canards précise l'arrêté mais "l’ensemble des détenteurs de volatiles (poules, canards, pintades etc.) Ca interroge aussi sur ce que les motivations des autorités et des industriels pour l’aviculture. Ce n’est en effet pas le premier hiver que la grippe aviaire sévit. Exceptions : les lâchers de faisans et de perdrix peuvent être autorisés sous conditions édictées par les préfets, tout comme l’utilisation d’appelants. Le ministère de l’agriculture rappelle que "le niveau de risque élevé de la grippe aviaire est un risque épizootique ».

Source: L'Humanite January 17, 2017 14:32 UTC