Georges Perec, les larmes de la langue - News Summed Up

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Georges Perec, les larmes de la langue


Une prose claire charriant les ombres et ravivant la perte, une fantaisie inventive passant par la contrainte : Georges Perec, sombrement solaire, entre en Pléiade. La rue Vilin disparut dans les années 1980, remplacée par le parc de Belleville. En rassemblant une œuvre qui ne craint mais suscite la surinterprétation, la Pléiade ne se révèle pas tombeau mais tremplin. »(La Disparition)Le cri de détresse de l’orphelin Perec résonne à travers des livres nimbés de la politesse du désespoir : l’humour. On voulait monter dans les wagons, mais ce n’était pas permis.


Source: La Croix May 11, 2017 04:18 UTC



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