Gaspard Ulliel, chemise blanche et jean, arrive au rendez-vous dans ce grand hôtel parisien, son casque de moto à la main. Le projet de Bertrand Bonello est arrivé à une période de ma vie propice à l’exploration intime que le rôle exigeait. J’ai le sentiment bouleversant d’être allé puiser au fond de moi-même. À un moment, j’avais l’impression d’être un vieil acteur, désormais j’ai à nouveau le sentiment de débuter. Ça se passe pendant la guérilla du Tonkin, c’est un film de guerre dans la jungle, l’Apocalypse Now 2.0.
Source: Le Figaro August 29, 2016 05:03 UTC