Le élèves du lycée Alexis de Tocqueville de Grasse, reprennent le chemin vers la classe le 17 mars 2017, au lendemain de la fusillade. La page Facebook de ce jeune de 16 ans atteste pourtant de sa fascination morbide pour les tueries de masse (notamment celle de Colombine, aux États-Unis) et pour les représentations sataniques. À lire :Grasse : la sécurité des lycées en questionQue prévoit l’école en matière de repérage ? À lire : Après les tirs, Grasse sous le chocQuid des réseaux sociaux, à l’heure où une majorité d’adolescents s’épanchent sur Facebook ? »Éric Debarbieux, qui a longtemps présidé de l’Observatoire de la Violence Scolaire, appelle, lui, à une responsabilisation accrue des élèves.
Source: La Croix March 17, 2017 16:07 UTC