Mais, redoutait Francis Cabrel, « si imprudence, ou mauvais hasard, si quelqu’un parmi nous attrape le Covid-19, tout le groupe devra s’arrêter ». Pourtant, on en a besoin, et on a besoin de toutes les formes artistiques qui mettent de la poésie dans ce monde de brutes. « Dylan, ça m’a pris à 15 ans, ça a changé ma vie du jour au lendemain, et ça ne m’a jamais lâché. « Les gens sont patients avec moi, je donne un album tous les cinq ans, sourit Francis Cabrel. En tout, Cabrel a vendu 25 millions de disques.
Source: La Croix October 17, 2020 05:15 UTC