Et pour corser le tout, «Once Upon a Time in Hollywood» n’avait droit qu’à quatre projections: deux officielles, deux presse. La faute à Tarantino lui-même qui ne voulait pas que son film, tourné en 35 mm, passe dans certaines salles où ce format n’aurait pas été bien mis en valeur. Puis est arrivé le jour J. Pour la première séance presse, un peu plus d’une heure d’attente s’avère suffisante avec un bon badge. Oui d’un point de vue événementiel, un peu moins si on se base sur le strict résultat. Et pourtant… «Tarantino ne peut faire qu’un bon film, c’est obligé, quoi que disent les gens», nous assurait hier une assistante de production qui a renoncé à y aller.
Source: Tribune de Genève May 23, 2019 12:31 UTC