[...] La mise en scène conçoit ce fading-out de la vie comme l'origine de toute beauté humaine. [...] A l'opposé de ce qu'on pourrait attendre d'une messe funèbre, ce Requiem célèbre la vie » avance Romeo Castellucci. A partir de cette idée éminemment contestable (pourquoi imposer une représentation à la musique de Mozart qui a la grâce de ne jamais s'appesantir ? Les requiem de Britten, Ligeti, Zimmermann ou Penderecki auraient sans doute mieux convenu à un pareil traitement. Mise en scène de Romeo Castellucci.
Source: Les Echos July 04, 2019 13:41 UTC