Par Valérie de SennevillePublié le 17 janv. 2024 à 7:12 Mis à jour le 17 janv. 2024 à 7:13C'est une affaire à peine croyable de mercenaires à la petite semaine et de pieds nickelés de l'espionnage. Elle pourrait prêter à rire si elle n'avait déstabilisé pendant des mois l'un des fleurons de l'industrie française et laminé la carrière de hauts cadres dirigeants emportés par la vague : ce mercredi 17 janvier s'ouvre, quatorze ans après les faits, le procès de la rocambolesque histoire « d'espionnage » chez Renault. Sur le banc des prévenus, trois personnes (un des mis en cause est décédé) soupçonnées d'avoir participé à des degrés divers à ce scénario aux allures de polar.
Source: Les Echos January 17, 2024 22:36 UTC