Avec la chute durable des prix des hydrocarbures, l’Algérie est contrainte d’entrer en ce début d’année dans une phase d’austérité au risque de faire exploser la colère dans la rue. En 2016, l’Algérie a perdu 20 places dans le classement sur l’indice de perception de la corruption dans le monde. De la grève générale à l’émeuteRachid Bakhti, entrepreneur en bâtiment, a licencié quinze de ses vingt-cinq employés à la fin de l’été 2016. »À la fin de 2016, la grogne s’est d’abord propagée dans la fonction publique. Elle est passée de la 88e place en 2015 à la 108e en 2016 sur 176 pays.

Source: La Croix February 01, 2017 06:30 UTC