Opinion Le monde en question – Pourquoi l’Europe de 2026 a tout à craindre de la montée du nationalisme Il y a 30 ans, le président Mitterrand prévenait: le nationalisme, c’est la guerre. Trente ans après les accords de Dayton, la Bosnie en est un exemple, dans une Europe en proie au nationalisme et menacée par l’impérialisme russe. « Le nationalisme, c’est la guerre. Les pays baltes seraient alors la prochaine cible du nationalisme belliciste de Vladimir Poutine en Europe. En outre, plusieurs pays européens dont la France pourraient tomber à leur tour dans un nationalisme qui, à coup sûr, désarmerait l’Union européenne face à l’expansionnisme russe.
Source: Tribune de Genève December 23, 2025 06:14 UTC