Et si la petite affaire d’espionnage de la sélection féminine de football canadienne aux JO de Paris 2024 n’était que la face émergée de l’iceberg ? Le média The Globe and Mail vient de publier une enquête édifiante sur les pratiques du staff, qui dépassent largement cette simple affaire. Des jouets sexuels jetés sur le staffMais l’espionnage ne fait pas tout. Le staff aurait organisé des moments de « beuverie obligatoires la veille des matchs », baptisés « soirées sociales du personnel » auxquelles les joueuses n’étaient pas conviées. Ces soirées sociales, autrement appelées « Match Day Minus One " (J-1 avant le match), ont parfois dérapé.
Source: L'Equipe November 26, 2024 09:14 UTC