"La répétition des élections serait nuisible aux intérêts de l'Espagne et des Espagnols", dit la résolution qui l'a emporté. "Si je veux obtenir plus d'appuis, il est logique que je doive adopter mon discours à la nouvelle situation", a-t-il déclaré vendredi en marge d'un sommet européen. "Le plus probable est que ce sera une législature courte", de moins de quatre ans, prévoit le politologue Pablo Simon.Les socialistes, ainsi que Podemos et les libéraux de Ciudadanos, les deux nouveaux partis qui ont bouleversé les équilibres au parlement, sont décidés à mener la vie dure aux conservateurs.Mais pour le PSOE, plus ancien parti d'Espagne, le mal est fait. "Je prévois que ça va être très compliqué à moyen et à long terme. Nous allons devoir travailler énormément pour retrouver notre crédibilité", dit-elle.
Source: Le Figaro October 23, 2016 13:23 UTC