« On veut me prendre des mots que j’ai mis quarante ans à cracher… » Victime de Bernard Preynat, il ne veut pas que son témoignage figure dans un livre à paraître le 10 janvier. Créée en 2015 à Lyon à l’occasion du dossier Preynat et de l’affaire Barbarin, elle est devenue une des principales associations de victimes. En lisant, je ressens sa main [de Bernard Preynat] sur moi, c’est terriblement malsain d’exposer notre souffrance, c’est du voyeurisme… »Le tirage initial de l’ouvrage s’élève à un millier d’exemplaires. Un combat épuisantIl se pourrait bien que le livre de la discorde soit le symptôme de désaccords plus profonds au sein de l’association. Pour certains, membres de la première heure, l’association réunit les victimes de Bernard Preynat qui cherchent à se reconstruire.
Source: La Croix December 27, 2019 16:30 UTC