Cela faisait des jours que des « gilets jaunes » radicalisés échauffaient les esprits. Un samedi, c'est la tombe du soldat inconnu qui est vandalisée. Preuve accablante de cette complicité, on notera sans surprise que pas une des « figures » des « gilets jaunes » n'a cru bon de condamner les exactions. On est en droit de s'interroger sur le rôle des réseaux sociaux dans une violence qu'ils contribuent à décupler. Qu'ils sont des « gentils gilets jaunes », eux, qu'ils n'ont rien à voir avec les black blocs.
Source: Les Echos March 17, 2019 15:56 UTC