«Des arrivées», commente-t-il simplement pour désigner les obus tirés par les Russes sur les positions ukrainiennes. – longeait les champs et les fossés, à moins de trois kilomètres des positions russes. C’est l’itinéraire que suit Oiseau à bord de son ambulance pour rejoindre Orlivka, le dernier village avant la cokerie d’Avdiivka. Là, il prend en charge les blessés en urgence vitale que les blindés d’évacuation brinquebalent depuis les premières lignes. «On doit faire vite à Orlivka, c’est périlleux, lance Oiseau, un vétérinaire promu chirurgien de guerre.
Source: Le Temps February 17, 2024 12:11 UTC