La Chine s’ouvrait au monde et faisait miroiter des perspectives économiques alléchantes pour les entreprises. Apprendre la langue de Confucius était alors vu comme un sérieux atout pour se démarquer sur le marché du travail ou comme un enrichissement culturel. En une dizaine d’années, cet engouement que suscitait le chinois semble s’être essoufflé. «De ce que j’ai pu constater, relève Philippe de Korodi, cette tendance s’est tassée sans disparaître totalement. Je connais des étudiants qui choisissent le mandarin à l’université ou à l’école hôtelière par exemple.
Source: Le Temps March 16, 2024 15:20 UTC