Dans un contexte de globalisation, la crise de la social-démocratie européenne dans les années 1990 a laissé la gauche en ruine, de la Grèce à la Suède en passant par l’Espagne et l’Autriche. Les effets de la crise de 2008 et de celle de la dette, en plongeant plusieurs pays au bord de la faillite et en creusant les inégalités, ont contribué à radicaliser les positions. Partout, la gauche cherche à se reconstruire, parfois au prix d’une marginalisation des partis socialistes traditionnels. C’était juste avant la violente plongée dans la crise et le discrédit des partis clientélistes au pouvoir depuis la chute des colonels, plus chèrement payé par le Pasok balayé du paysage politique. »Portugal : La gauche unie contre l’austérité a le vent en poupeC’est le contre-exemple en Europe.
Source: La Croix January 29, 2017 17:58 UTC