« La vision du monde que se fait la municipalité est que la "loi" gouverne la vie. Vous nous demandez de nous incliner devant un faux dieu, ce qui nous est impossible », a-t-elle ainsi écrit au conseil municipal de Chudleigh, dont elle dépend géographiquement. Une terre « appartenant à Dieu »Les Beerepot estiment en fait ne pas avoir à payer de taxes d’habitation à la mairie, puisqu’ils vivent sur une terre « appartenant à Dieu ». « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu », lui a-t-elle rétorqué en citant les Evangiles. À lire : En Australie, les médecins s’attaquent au silence sur les camps de migrants
Source: La Croix March 17, 2017 11:09 UTC