Enfant, il travaillait chez un barbier alors que les talibans étaient au pouvoir dans les années 90. - Années de guerre -Mohammad Anil Qasemi, un militant pour la jeunesse, était étudiant à l'Université américaine de Kaboul lorsque les talibans ont pris d'assaut le campus en août 2016. - Amis perdus -D'autres, plus âgés, ont connu plus d'années de guerre que de paix et ne jurent que par un répit. "Je suis prêt à laisser repousser ma barbe comme l'exigent les talibans", souligne Haji Ahmad Shah, client d'un centre commercial à Kaboul. Si les talibans reviennent, il pourrait perdre ces libertés: "Mais ça va, car ce que je veux, c'est la sécurité.
Source: La Croix March 17, 2019 09:56 UTC