Leur faire confiance… Équipé d’un casque lui ouvrant les portes multidimensionnelles de la réalité virtuelle, le visiteur (est-ce d’ailleurs le terme approprié ?) de Eight doit abandonner une bonne part de son libre arbitre en entrant dans cette installation maligne et autoritaire. C’est d’ailleurs là toute la question que nous pose Michel van der Aa. Quand, du haut d’un parapet, on l’aperçoit qui vous fait signe au fond du gouffre, faut-il sauter la rejoindre ? DIAPORAMA – Le parler brut de Tadao AndoÀ noter enfin que le festival d’Aix propose de se familiariser un peu plus avec l’univers de Michel van der Aa, grâce à Blank out, une pièce qui tient de l’opéra, du cinéma et de la performance plastique.
Source: La Croix July 08, 2019 05:15 UTC