INTERVIEW - Déjà condamné en 1996 pour « viol avec arme », le meurtrier présumé d'Angélique n'était pas soumis à une obligation de soins. La présidente de Stop aux violences sexuelles (SVS) plaide pour un meilleur suivi des détenus. - Depuis sa sortie de prison, en 2000, David R. n'avait plus eu affaire à la justice. - Ce n'est pas parce qu'il n'a pas fait parler de lui qu'il n'y a pas eu d'autres agressions… S'il y a eu ce viol, cela signifie d'abord que cet homme n'a pas été correctement soigné. Ce qui sous-tend la violence sexuelle, ce n'est pas une énergie ...
Source: Le Figaro May 01, 2018 17:50 UTC