La question devrait planer sur le procès qui s’ouvre ce mardi 20 février devant le tribunal pour enfants de Paris. Parmi les accusés figure une jeune femme, sensible à l’époque à la fois à l’idéologie djihadiste et au néonazisme. Ce garçon, alors âgé de 17 ans, sera jugé lui aussi cette semaine à Paris tout comme un mineur alsacien, 16 ans à l’époque, plutôt situé à l’extrême droite. Mieux cerner le profil de ces radicalisés, à peine sortis de l’adolescenceMajeur en 2021, ce Havrais comparaîtra mi-mars devant le tribunal correctionnel de Paris, tout comme… L. B. qui sera donc jugée deux fois. « On est face aux délires adolescents d’une jeune fille très introvertie dont les projets ne dépassaient pas les murs de sa chambre », affirme-t-il.
Source: La Croix February 20, 2024 13:41 UTC