Max Weinstein est de cette génération qui a connu les heures sombres de l’Occupation pour ensuite écrire les pages libératrices des « Jours heureux ». En septembre de la même année, il rejoint son frère Georges à Villeurbanne, près de Lyon. Il participe également à la bataille de Pusignan, dans le Rhône. Une vie au service du vrai, du bien, du beau et du bonIl travaille ensuite pour la presse communiste à Lyon, puis à Paris, au journal l’Humanité. Elle se confond avec « son journal », l’Humanité, dont il a dirigé l’imprimerie, et avec la Fête de l’Humanité et la Cité internationale, dont il a assuré longtemps la responsabilité.
Source: L'Humanite April 07, 2020 17:26 UTC