Premièrement, à la suite des manifestations pro-Hamas dans les universités américaines, la présidente de Harvard, Claudine Gay, a été convoquée devant le Congrès. Elise Stefanik, une républicaine favorable à Trump, a demandé à Gay si elle pensait qu’appeler au génocide des Juifs violait la politique de Harvard en matière de discours. Mais c’est justement le problème : comment une chercheuse aussi médiocre est-elle parvenue au poste universitaire le plus prestigieux et le plus puissant de la planète ? Si un démocrate de haut rang et un universitaire de renom ne pouvaient pas s’exprimer librement à Harvard, qui le pouvait? De nombreuses personnalités pointent du doigt le système DEI (diversité, équité, inclusion) qui existe au sein des universités américaines.
Source: Le Figaro January 15, 2024 04:15 UTC