Né à Pau, en 1926, Denis Lalanne était le rescapé d’une époque où « le journalisme d’alors, c’était du papier, de l’encre et des cigarettes ». »De temps à autre, Denis Lalanne laissait courir sa plume sur de plus longues distances qu’un article de journal pour nous régaler d’une nouvelle rasade bien frappée de ses souvenirs. D’ébouriffantes épopées de tontons flingueursJeune journaliste à La République des Pyrénées, Denis Lalanne avait repéré la signature d’Antoine Blondin et « le charme de sa prosodie. Blondin pouvait enfin reposer en paix, Denis Lalanne veillait sur lui. Jeudi prochain, Denis Lalanne devait recevoir le Prix de l’Académie Française, pour son dernier livre, Dieu ramasse les copies.
Source: La Croix December 08, 2019 10:41 UTC