Maintenant que les paquets sont faits, et que nous n’avons plus à nous préoccuper de rien de charnel – si ce n’est de la cuisson du chapon demain matin –, que demanderons-nous vraiment à l’enfant de la crèche ? Qu’est-il capable de nous donner, restreint dans ses langes et son absence de langage ? Il est bien probable, si ce n’est certain, qu’il pleurait pour dire qu’il avait faim, pour réclamer la tétée, parce qu’un bébé ne sait rien faire d’autre, à part dormir. Cet article est réservé aux abonnés Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Source: La Croix December 24, 2025 13:41 UTC