Alors que leur consommation stagne, Addiction Suisse s'inquiète de la diversification des chemins menant à la dépendance et en appelle à un engagement accru de l'Etat. A travers ce dossier, la fondation fait le tour des connaissances les plus récentes en matière de consommations problématiques et de dépendance. A la publicité de l'industrie, l'Etat doit répondre par l'information, la prévention, voire la législation qu'il s'agit d'adapter. Ces derniers étant remis sur ordonnance, c'est à la responsabilité des médecins qu'Addiction Suisse en appelle. Parmi les adeptes des jeux d’argent, 0,8 à 2,2% sont des joueurs problématiques et 0,5 à 0,8% des joueurs pathologiques.
Source: Tribune de Genève February 13, 2018 15:45 UTC