Photo aérienne prise le 1er novembre 2020 montrant le temple romain d'al-Baqirah dans le nord-ouest de la Syrie où des déplacés se sont installés / AFPAu milieu des pierres séculaires et des colonnes effondrées, Abdelaziz al-Hassan et sa famille ont installé leur tente, préférant l'isolement de ruines byzantines et romaines aux camps de déplacés bondés dans le nord-ouest de la Syrie en guerre. Des enfants déplacés jouent le 1er novembre 2020 au milieu des ruines du temple romain d'al-Baqirah dans le nord-ouest de la Syrie / AFPDerrière lui, seuls trois murs en pierre blanche tiennent encore debout. La tente de M. Hassan, érigée avec des bâches, se trouve dans l'enceinte à ciel ouvert du temple romain. Photo prise le 1er novembre 2020 montrant un chien au milieu des ruines du temple romain d'al-Baqirah, dans le nord-ouest de la Syrie, où des déplacés se sont installés / AFP«Tous les deux jours, je tue un scorpion», raconte ce trentenaire à la fine silhouette. Un déplacé syrien entretient son feu de bois le 1er novembre 2020 dans le temple romain d'al-Baqirah, dans le nord-ouest de la Syrie, où il a installé sa famille / AFP«On nous a parlé des camps.

Source: La Croix November 10, 2020 09:45 UTC