Moller-Mærsk, deuxième armateur mondial, a annoncé la semaine dernière vendre ses parts dans The Metals Company (TMC). Cette entreprise canadienne, en pole position pour recevoir un premier permis d’extraction des métaux du fond des océans, fait face à des vents contraires depuis plusieurs mois. En décembre, un autre gros investisseur, le financier Storebrand, a aussi pris ses distances avec TMC, dont l’action au Nasdaq, en un an, a chuté de 90%. En mars, le groupe américain Lockheed Martin a aussi retiré ses billes du secteur.
Source: Le Temps May 09, 2023 21:45 UTC