Elle dispose d'un coach national ad hoc, en la personne de Sebastian Stock, qui entend bien développer la spécialité. Pour le technicien bavarois, le mixte doit être considéré au même titre que le curling traditionnel (à quatre). «Depuis que nous avons appris que cette discipline serait olympique, il y a trois ans, nous nous investissons sérieusement dans le curling mixte», explique Sebastian Stock. Au plan international, la discipline en est à ses balbutiements, mais Sebastian Stock est persuadé de son potentiel: «Le curling mixte se joue à deux et nécessite donc moins de ressources que le curling classique. Du reste, Perret/Rios n'iront pas défendre leur titre mondial en avril en Suède.
Source: Tribune de Genève February 13, 2018 07:18 UTC