La déception de Martin Rios est immense, à la mesure des espoirs qu’il fondait et des torts qu’il s’attribue. «Vous savez, mes émotions, je ne les contrôle pas, elles viennent du ventre, pas de la tête», assène-t-il. Le couple terrible du curling suisse ne s’est même pas querellé durant la finale, comme il en a l’habitude. Quand la pertinence du jugement se marie à la justesse du geste. Pékin, c’est si près et si loin à la fois!
Source: Tribune de Genève February 13, 2018 21:33 UTC