» Le couvre-feu, qu’il qualifie de « bonne mesure », arrive selon lui « trop tardivement », la situation étant « déjà critique dans nos hôpitaux ». »Pédagogie avant sanctionÀ la tête d’une ville de 27 000 habitants, Nicolas Méary est plus optimiste. « Ce qui me préoccupe le plus, ce ne sont pas les moyens de contrôle, c’est sa complexité, s’interroge Nicolas Méary. Avec le couvre-feu, les contrôles seront difficiles car il y aura beaucoup plus de motifs dérogatoires, donc de monde dans les rues. « Pour la culture, nous pourrons programmer les événements plus tôt ou le week-end, mais pour le sport, les équipements sont utilisés en journée par les scolaires », relève Nicolas Méary.
Source: La Croix October 16, 2020 05:15 UTC