À Paris (37 %) comme à Lyon (42 %), elles ont même passé leur seconde période à courir après le ballon. « Ce que j'ai dit aux joueuses, c'est que c'est probablement le chemin le plus difficile qu'on ait eu à emprunter pour atteindre la finale du point de vue du niveau de la concurrence, soulignait Ellis mardi soir. Mais elles ont trouvé le moyen d'y arriver. » Et c'est aussi parce qu'elles parviennent à tenir le choc sous pression : des trois buts que les Américaines ont encaissés dans ce tournoi, un seul est intervenu après la pause. Celui de Wendie Renard.
Source: L'Equipe July 04, 2019 07:52 UTC