"Il y a véritablement un problème" dans le fait que les revendications des nationalistes ne soient pas entendues, a-t-il estimé. Reconnaissant mercredi qu'il n'y avait pas eu "d'avancées" à proprement parler, M. Simeoni a poursuivi: "Le Premier ministre et les ministres qui l'accompagnaient ont écouté nos demandes, notre démonstration. "L'acte I des relations entre la Corse et l'Etat a manifestement été manqué et peu importe aujourd'hui de savoir qui porte la responsabilité principale de cet échec. Ce qui compte, c'est de savoir si oui ou non il y a la volonté d'ouvrir un acte II qui permette d'aller vers un véritable dialogue et la recherche d'une solution politique (...) . Nous, nous avons cette volonté, (...) nous espérons qu'il y aura la même volonté du côté de Paris", a-t-il conclu.

Source: La Croix July 03, 2019 16:23 UTC