Réservé aux abonnésINFO LE FIGARO - Si les violences liées aux Jeux sont bien maîtrisées, la délinquance ordinaire ne connaît pas de trêve estivale. « Quand les procédures tiennent, la justice suit. » Éric Mathais, le procureur de Bobigny - une juridiction en première ligne des Jeux olympiques, comme celle de Paris - a les yeux rivés sur le tableau de bord quotidien de la Chancellerie. Pour la première fois de son histoire, elle s’est donné les moyens de suivre en temps réel l’activité judiciaire, en ayant remastérisé son logiciel pénal Cassiopée. Toujours au plan national, le nombre de poursuites devant les tribunaux correctionnels est de 44, tandis que les alternatives sont au nombre de 18.
Source: Le Figaro August 02, 2024 12:35 UTC