Première réalisation d'une jeune cinéaste nippo-australienne, « Relic » respecte à la lettre les codes les plus classiques de l'épouvante. Huit ans plus tard, il réalise un film de procès, étonnante variation sur « Douze Hommes en colère » à l'époque de « The Voice ». « Billie », de James ErskineOn l'appelait Lady DayLe documentariste James Erskine revient sur la vie brisée de la grande Billie Holiday. Et dans « Ondine », vous verrez surtout l'un des plus beaux coups de foudre de l'histoire du cinéma. Et si la vie n'était qu'un conte de cinéma infini ?
Source: Les Echos October 09, 2020 10:52 UTC