«W hen there is nowhere to go, nowhere is home. » Quand il n’y a nulle part où aller, on ne se sent chez soi nulle part. Pour les migrants, nulle part, c’est dans la boue, dans la poussière, sous la pluie, sous le vent, près des rails de train, des grilles barbelées, dans des hangars, dans des camps, sous des tentes.
Source: L'Humanite February 06, 2018 18:22 UTC