Elle souligne le gouffre entre les mouvements LGBT et les classes populaires, ou le lien entre un certain féminisme et le néolibéralisme. « Si j'avais été forcée de voter à la primaire, j'aurais voté pour Hamon, mais je ne crois pas à la possibilité d'une rénovation du PS. À la fin de la conférence, un jeune homme se lève pour dire qu'il «n'a rien compris au débat». Interrogée sur la victoire, alors probable, de Benoît Hamon à la primaire de la gauche, la philosophe répond: «Je sais que Hamon se réclame de moi, mais je ne le connais pas. Si j'avais été forcée de voter à la primaire, j'aurais voté pour lui, mais je ne crois pas à la possibilité d'une rénovation du PS.
Source: Le Figaro January 30, 2017 09:56 UTC