On aime d’emblée le côté décontracté et bonne franquette de la proposition de Boris Charmatz, quand il nous propose de nous joindre à l’échauffement. Et nous voilà embarqués à l’intérieur du cercle, à suivre en petits groupes les consignes d’un des onze enseignants-danseurs. Et les spectateurs de regagner leur place, laissant libre champ aux 200 participants de Cercles : un « Atelier de recherche chorégraphique en plein air ». Le temps que la pluie nous rince à notre tour, laissant dans le pétrichor un certain goût d’inachevé. Mais n’est-ce pas là tout le sel de cette performance, en forme de moment suspendu ?…Nathalie Yokel
Source: L'Humanite June 30, 2024 11:59 UTC