REPORTAGE - La première journée du démantèlement de la «jungle» de Calais s'est déroulée dans le calme. Mais dans les jours à venir, il faudra déloger les derniers récalcitrants. «Il faut bien prendre conscience que ceux qui viennent aujourd'hui sont ceux qui veulent être mis à l'abri.» Dans les prochains jours, se posera la question des hommes qui ne veulent pas quitter la «jungle». Plusieurs ONG, dont l'Auberge des migrants, estiment leur nombre à 2000 parmi les 6300 à 8500 migrants du bidonville. S'ils détruisent la jungle, je serai peut-être obligé d'aller à Paris.»Ali Mohamed passe devant les douches, des sacs de courses dans les mains.
Source: Le Figaro October 24, 2016 17:39 UTC