En particulier, la Commission affirme avoir «trouvé des preuves de l’octroi de prêts, de crédits à l’exportation et de lignes de crédit fournis par des banques publiques». «Les marchés mondiaux sont aujourd’hui inondés de voitures électriques chinoises bon marché, dont le prix est maintenu artificiellement bas par des subventions publiques massives», avait-elle affirmé. Pékin a de son côté dénoncé une mesure «protectionniste» qui aura «un impact négatif sur les relations économiques» entre les deux blocs. A l’issue de celle-ci, l’UE pourrait décider de taxer les véhicules importés de Chine, au-delà des 10% actuels. Mais elle pourrait y renoncer, même en cas d’infraction avérée, si elle estime ne pas y avoir intérêt.
Source: Le Temps October 05, 2023 02:03 UTC