Total n’a pas réussi à séduire l’Ibama, l’agence de protection de l’environnement du Brésil. Directement rattachée au ministère de l’Environnement, celle-ci a refusé, une nouvelle fois, d’accorder les licences d’exploitation au groupe, faute d’arguments assez probants pour garantir la préservation de la faune et de la flore locales...
Source: L'Humanite August 30, 2017 18:00 UTC