À lire aussi Baromètre du climat éthique 2024 : les salariés ne badinent pas avec l’éthiqueCes craintes arrivent devant celle, avérée, des « biais discriminatoires » (65 %) induits par les choix humains de programmation des algorithmes. « L’empreinte carbone du numérique est bien documentée, mais le service rendu par l’IA est jugé plus important dans un premier temps. »Usages diversifiésAu total, 86 % des salariés interrogés jugent que son utilisation régulière dans la sphère professionnelle comporte des risques (dont 29 % « très importants »). Seuls 15 % des sondés déclaraient pourtant utiliser l’IA dans leur travail lorsqu’ils ont répondu à l’enquête entre le 6 février et le 19 mars 2024. »À lire aussi Intelligence artificielle : les syndicats réclament un véritable dialogue socialInterdire ou réguler ?

Source: La Croix June 12, 2024 11:20 UTC